Hier encore nous étions de sortie en terre presque Stéphanoise. Ce match s'annonçait donc comme un derby à la sauce loisirienne, avec un arbitre qui, par mauvais goût ou par provocation, arborait un survêtement d'une couleur fadasse portant l'armoirie du clan adverse : ASSE ! Il nous en fallait guère plus pour exciter notre patriotisme régional et sommer l'arbitre de changer de tenue pour ne pas le laisser dans le ridicule de sa tenue vestimentaire. Malgré le froid naissant des terres paysannes, nous entamions le match tambour battant, avec une nette supériorité de notre milieu de terrain dans la circulation de balle, une défense remaniée mais non moins intraitable et une attaque toujours dangereuse malgré les difficultés tactique de Yéria, notre minorité visible du Caucase...Notre domination fût récompensée par la réussite de Sylvain d'une frappe du droit. Stéphane doubait la mise sur corner sans que nos adversaires aient pû nous mettre en danger malgré quelques approximations défensives et des relances dans l'axe qui leurs permettaient d'exister un minimum. Mais c'était sans compter sur notre détermination et notre efficacité puisque Yéria par deux fois, Stéphane et Sylvain céllaient définitivement le score du match. 6/2 pour finir non pas l'open de tennis de Geoffroy Guichard, mais cettre aventure terreuse. Les bolognaises, le rouge et le Wiskhy cloturèrent définitivement la rencontre, même s'il fallut sortir Bernard et Olivier d'une ivresse certaine afin que nos amis Touslanlinois (?) gardent une image correcte des gens de la ville...
P.S : Loic proposait à juste titre que nous puissions nous rassembler pour un petit resto entre footeux avant la trève de Noel. Je suggère le Samedi 19 ( je suis pas dispo la veille) et je vous invite à venir donner votre avis en commentaire
Un match de , (clique sur l'image pour découvrir de quoi on parle), en fait, c'est quoi? C'est un savant mélange de pleins de trucs désagréables:
perdre contre un adversaire largement à sa portée
dominer toute la première mi-temps et vendanger 3 ou 4 occasions franches, malgré un joli but sur corner de Yeria
ne pas réussir à aligner 3 passes de suite et jouer en l'air, à coups de grands ballons devant, toute la seconde mi-temps
être sans ressort physiquement
être confronté à des adversaires peu fair-play et particulièrment un numéro 8 ayant cherché en permanence à faire dégénérer le match
devoir partager l'excellent chili con carne concocté par Ben et Matthieu avec ces mêmes adversaires pas fair play
Par contre, pour positiver, on peut se féliciter d'être restés zens et de ne pas trop être tombés dans leur provocation à 2 balles 50. Et d'avoir pris 2 ou 3 fois du chili, voire d'avoir survécu au Brie décongelé de juin 2009. Un match à oublier donc mais une deuxième partie de soirée toujours aussi sympa.
C'est dans une ambiance dantesque que ,nous avons battu le fer contre des adversaires vaillants mais peu inspirés...Nous avions l'avantage du vent en première période mais notre notre manque de chance conjugué à leur combativité nous mena vers lka mi-temps. la profondeur de notre banc n'avait aucune influence sur la qualité de notre jeu et malgré une météo plus que déffavorable, nous ne cédions pas un pouce de terre, même adverse. C'est sur un coup de pied de coin que "Créves "euh Trèves ouvrait le score; Les locaux doublaient puis triplaient le score sur des actions anodines sans entamer notre détermination ni notre domination...Au final, une défaite en forme de hold up jusifié par un chateau Terrasse et une saucisse de strasversere!
Voici une vidéo qui vous inspirera peut-être pour faire le compte-rendu du match d'hier. Que celui qui a l'inspiration écrive un texte en commentaire que je publierai.
C'était avec la terrible équipe des TCL, maillots, shorts et chaussettes grenats, que nous avions rendez-vous hier soir afin d'en découdre sur notre gore chéri, spongieux à souhait pour l'occasion, gorgé de la pluie tombée la journée, souple comme on l'aime mais lourd comme une enclume. Pendant qu'en coulisses se dessinait l'avenir du club -Yvon est sorti éreinté de sa réunion, on aurait dit qu'il avait assuré la liaison TGV Quimper-Vladivostok sans escale-, nous débutions le match avec l'idée de gommer certains errements récurrents cette saison, en l'occurrence des entames de match calamiteuses. Ben le magnifique, fêlé en pleine côte, était quand même de la partie mais comme arbitre officiel monégasque. Les premières impressions nous laissaient présager une soirée bien compliquée: nos adversaires attaquaient tambour-battant, affichant des qualités techniques étonnantes, un jeu vif et alerte, en redoublement de passes. Cette flamboyante entrée en matière allait avoir un effet inattendu, celui de nous mettre instantanément dans le match: accrocheurs, combatifs, attentifs, nous avons fait mieux que résister puisque très rapidement, sur une frappe peu appuyée mais bien placée, Badinho, encore et toujours lui, nous mettait sur les bons rails. Il récidivait rapidement sur un contre mené à la vitesse de la lumière, dribblait le gardien adverse d'un grand pont malicieux et frappait dans le but vide. Un peu abasourdis, nos amis des TCL n'abdiquaient pas mais Brahim, d'une montée rageuse, offrait une offrande à votre serviteur qui marquait du plat du pied. Autant le dire tout de suite, après 30 minutes de match, c'est dans les rétroviseurs que les TCL allaient suivre le match. Pourtant, les grenats ont toujours donné l'impression de pouvoir revenir, lorsque leur beau jeu se remettait en place. Mais notre défense, impeccable hier, et notre gardien de but, impressionant de vigilance, dans un style très Lama (Bernard pas l'animal qui crache) tenaient bon et les empêchaient de trop y croire. En seconde mi-temps, même scénario: la pression allait s'accentuer sur le but de Manu, toujours aussi fringuant, mais c'est bel et bien nous qui alourdissions la marque, par Yeria puis par Michel, parfaitement servis par Steph et Sylvain. A la 70ème, l'addition était salée mais aurait pu être bien plus lourde encore puisque nos adversaires du soir étaient un peu assommés, voire carbonisés. Finalement, l'intensité du match baissait d'un cran et les TCLiens finissaient par logiquement sauver l'honneur. Un grand bravo à tous, nous avons servi une copie quasi parfaite hier soir, en alliant une défense de fer et une attaque qui est demeurée dangereuse jusqu'au coup de sifflet final. Du (très) bon boulot. Et c'est avec le même brio que Maître Hervé Côté Droit nous a servi un poulet basquaise succulentissime, arrosé d'un petit bordeaux très en jambe lui aussi: une soirée parfaite je vous dis!!!!! En cadeau, une nouvelle découverte musicale en prévision des barrages
Hé oui, Lisandro ne s'y est pas trompé, c'est bel et bien un match de fou, voire de ouf pour les plus chébrans d'entre nous, qui a eu lieu lundi soir sur la magnifique pelouse de Brignais. Tout avait pourtant commencé de la pire des manières: un peu à la bourre sur l'horaire en raison de bouchons sur les quais, nous arrivions un peu trop tard pour réellement nous échauffer, récupérions Manu à 2 minutes du début du match, perdions Sylvain sur le périphérique (???) et débutions donc le match en ordre un peu dispersé et sans aucun remplaçant sur la touche, à l'inverse de nos adversaires du soir qui auraient pu aligner 2 équipes. Nous démarrions à notre (mauvaise) habitude au ralenti, nos crampons restant bien plantés dans l'herbe fraîche sous le poids de nos corps peu mobiles et nous assistions ainsi en spectateur privilégié au début de match en boulet de canon de nos hôtes du soir, les redoutables et redoutés brignaisquiens. Après 17 minutes de jeu, comme l'arbitre du soir le faisait remarquer avec un brin d'ironie, ce n'était pas 1, ni 2, pas même 3, encore moins 4 mais bel et bien 5buts que nous avions déjà pris dans la musette, notamment grâce au brio de leur avant centre (le terrrrrible 2) et à la faveur, quand même, d'une réussite insolente. La soirée s'annonçait cauchemardesque, mais petit à petit, à la faveur d'une amorce de sursaut d'orgueil et d'une sortie progressive de notre torpeur, notre bon vieux diesel se mettait tout doucettement en place et permettait en tous les cas de stopper l'hémorragie. Yeria puis Steph atténuaient la douleur de la fessée et relançaient l'intérêt de la partie et de la seconde mi-temps que nous attaquions un peu réorganisés, en 4-5-1 plutôt qu'en 4-4-2. Si nos hôtes brignaisois continuaient à se montrer dangereux en contre, c'est quand même bien nous qui dominions les débats: nous attaquions tout azimuts mais manquions le cadre d'un poil de sourcil ou butions sur un gardien jouissant d'une réussite parfois hallucinante. Mais notre abnégation allait payer puisque Steph réduisait le score sur Penalty et que Brahim, d'un centre tir corner transversale contré ramenait l'espoir dans les coeurs tango et noirs. Mais c'était sans compter sur la réussite de ces satanés brignaisards qui nous cassaient le moral et nous coupaient les jambes, devenues lourdes en raison de l'herbe grasse qu'elles fréquentent trop peu et de notre banc désertique, par un 6ème but en contre, à quelques minutes de la fin. Mais nous ne baissions ni les bras ni nos shorts et reprenions notre pression vers l'avant. L'inattendu arriva au bon moment puisque votre serviteur marqua de la tête sur un corner bien frappé par Brahim. Les brignaisais manquaient le KO en trouvant dans la foulée le poteau mais c'est finalement Bibou qui parachevait le travail sur une belle frappe croisée à l'entrée de la surface. L'orgasme aurait pu être total si à la dernière seconde Steph avait transformé sa dernière tentative mais Dieu que la soirée avait été belle!!!! Et comme le veut la tradition de cette poule pas comme les autres, le casse-croûte réunissait autour du pâté et de la 33 les acteurs de ce très très beau scénario. Pourvu que ça dure et bravo les gars, on a fait preuve d'un fighting spirit quand même pas ordinaire. En cadeau bien mérité, la version originale du fameux "you'll never walk alone" d'Anfield Road (bien peu entendu la semaine dernière je vous l'accorde, hé, hé)
Réception lundi soir de la belle équipe des Aqueducs de Beaunant. Deuxième match et deuxième victoire pour l'insubmersible équipe loisir du FCCR. La température était relativement clémente, le terrain était plutôt meilleur que d'ordinaire : l'affaire se présentait donc bien. Début de match un peu mollasson, comme à notre habitude, mais la qualité finit toujours par faire la différence : l'insaisissable Ben s'infiltrait dans la surface, crochetait deux adversaires et était descendu par le troisième. Le penalty était transformé, le FCCR ouvrait le score mais perdait Ben qui se blessait sur l'action. Le premier tiers-temps, ni bon ni mauvais s'achevait sur ce maigre avantage. Le deuxième tiers-temps voyait les tango et noir se mettre en route et la défense des Aqueducs commençait à se fissurer. Logiquement, le FCCR doublait la mise par l'intermédiaire de Sylvain au terme d'une contre-attaque conduite à la vitesse de l'éclair. Le troisième tiers-temps (les mi-temps c'est ringard, on n'en fait plus) allait consacrer la supériorité physique, technique et collective de notre groupe ; les buts allaient s'enchaîner et le score final, 6-1, était bien lourd pour nos adversaires du soir. Brahim a marqué, Stéphane aussi, comme Sylvain, peut-être d'autres, je ne sais plus. Tout le monde a été bon, à commencer par l'impeccable Manu dans la cage. Kamel et Gaël ont fait régner l'ordre en défense centrale, les deux Hervé ont fait le boulot sur les côtés, relayés par Olivier. Brahim a été musclé, Ben virevoltant, Loïc dynamique, Pierre et Michel aussi offensifs que concentrés. Bernard a joué juste, comme d'habitude. Sylvain, Yeria et Badinho ont fait la différence devant. Peut-être que Sylvain pour son activité et sa rapidité, Stéphane pour son stoïcisme et ses fulgurances, et Gaël pour sa précision et ses relances ont été un poil meilleurs que les autres, mais les commentaires le diront certainement. Le repas était l'œuvre conjointe de Michel et Olivier, et ceux qu'Hervé côté droit a vite eu fait de nommer les "Michel Oliver" nous ont régalé de spaghetti bolognaise inoubliables. Les bleus des Aqueducs nous ont fait le plaisir de les partager avec nous, et dans ce domaine nous avons fait jeu égal. Aaaaaaahhhhh ! encore une belle soirée !
Notre premier déplacement de l'année en mode "poule casse-croûte" nous a conduit sur le gorréen mais impeccable terrain de la Mulatière, aux dimensions et infrastructures impressionnantes, plus proches du New Camp que de l'Abbé Deschamps. Ce sévère contraste avec notre environnement habituel nous a clairement déstabilisé, dans les vestiaires tout d'abord où nous trouvions chacun une place sur les bancs sans devoir pousser le sac du copain puis sur le terrain où nous peinions lors des premières minutes à trouver nos marques. Un peu perdus, n'ayant pas l'habitude de tels espaces, enfermés sur notre côté gauche, nous fîmes tout de même illusion en courant après le ballon et en tentant de colmater les brèches. Mais nos adversaires mulaterriens, beaucoup plus réalistes, nous plantaient 2 banderilles meurtrières. Heureusement, Toulaloïc parvenait à réduire le score sur un coup franc juhninesque, récompensant ainsi notre marathon volontaire mais désorganisé de la première mi-temps. Après la pause, ayant quelque peu tiré les enseignements de nos erreurs et profitant d'une profondeur de banc bien supérieure à celle de nos adversaires du soir, nous primes clairement un ascendant physique, écartant le bloc mulaterrein en passant par les côtés et nous créant ainsi de nombreuses opportunités. Super steph allait faire le reste, en concrétisant de sa justesse habituelle le bon boulot des copains. Comme ses doigts l'indiquent su la photo, il allait scorer 3 fois, réalisant ainsi le fameux Hat Trick, et sans Viagra! La fin de match fut malheureusement un peu confuse avec une petite échauffourée autour de notre Loïc national qui - caramba encore raté - avait pourtant été impeccable jusque là. Courage copain, ça va venir! Heureusement, la 3ème mi-temps mulaterrienne, de grande qualité avec son enchaînement imparable "spaghettis, camembert, 4 1/4 et chocolat", le tout dans une atmosphère très foot loisirs, a permis de finir sur la bonne touche qui s'imposait à cette soirée comme on les aime: un adversaire de qualité, un match à suspense, des buts, du fair-play et ce bon vieux casse coûte cher à Pierrot! Pourvu que ça dure....
Le FCCR loisirs a fait son entrée lundi soir dans le cercle très sélect de la poule "casse-croûte" en accueillant de vaillants mais réfractaires savoyards. Les premières minutes de jeu ont un peu donné la tendance sportive de la soirée: à la faveur d'une température incroyablement douce pour la saison, 11 statues fluo se découpaient quasi immobiles dans les nuages de poussières dégagés par notre gore chéri , plus sec que jamais, pendant que nos amis savoyards démontraient d'emblée qu'il faudrait compter sur eux: bien placés, solidaires, ils faisaient bloc, sans démontrer de grandes qualités physiques, mais en faisant le métier. Alors que nous sortions tout doucement de notre torpeur et nous créions nos premières opportunités, l'une de leurs individualités ouvrait le score mais Yeria retrouva le chemin des filets peu avant la mi-temps. La seconde mi-temps fut un peu du même acabit: pas vraiment l'étincelle de notre côté (avons nous fait 3 passes de suite?) et des savoyards qui ne nous facilitaient pas la tâche, en reprenant notamment l'avantage. Heureusement, Toulaloïc pesait sur leur défense et profita d'une petite mésentente de leur arrière garde. La fin du match fut pénible avec beaucoup trop de parlotte et des prises de têtes en tous genres, entre nous comme avec nos adversaires du soir. Un nul de reprise à oublier, ce que nous avons tenté de faire dés la sortie du terrain en nous plongeant à nouveau dans les cubis de rouge, le taboulé et les EXCELLENTES merguez préparées avec amour par gros Mich venu pour l'occasion et Jacky dont la poignée de mains est toujours aussi franche. La saison est lancée...
L'encadrement technique nous avait programmé lundi soir un match de reprise contre nos frères croix-roussiens du FAR, défaits en fin de saison dernière dans des proportions importantes, à tel point que certains s'étaient même permis des jeux de mots douteux dans ces mêmes colonnes. Un mercato plus tard, les données étaient bien différentes puisque l'effectif farté avait été modifié en profondeur et que l'opposition proposée a été d'un tout autre calibre: accrocheurs, physiques, bien en place, adroits pour quelques uns d'entre eux, les fartés débutaient pieds au gore et ouvraient le score au bout de 5 minutes, sans que nous ayons réellement commencé à jouer. L'oposition s'équilibrait au fur et à mesure de la première mi-temps (il y en a eu 3 de 30 minutes chacune) nous permettant de revenir au score grâce à un CSC d'un farté sous la pression de Badinho. Mais le FAR reprenait l'avantage grâce à un non moins superbe CSC de Kamel, sans réelle pression cette fois-ci, mais à la faveur d 'un effet lifté incroyablement puissant que Manu ne pouvait qu'accompagner du regard dans sa cage. A la mi-temps, coach Gilles n'hésitait pas et renouvelait une bonne partie de l'équipe, envoyant même Kamel travailler de nuit pour sa punition. Le coaching s'avérait payant puisque super Yerya, de retour de sa pubalgie au traitement décennal, trompait le gardien adverse à la limite du hors jeu, grâce à sa pointe de vitesse toujours aussi phénoménale. La troisième mi-temps continuait de proposer un match ryhtmé, disputé, engagé mais équilibré. Une grossière faute sur un énorme débordement du numéro 9 aurait du être sanctionnée d'un pénalty dans les 5 dernières minutes mais par Fair-play, l'arbitre n'a pas donné suite. Bilan de la soirée: de la sueur, du jeu et des chaussettes assorties à nos maillots, super pour la reprise. Vos remarques, avis et commentaires sur la soirée sont les bienvenus, particulièrement ceux de coach Gillou qui reviendra peut-être sur les prestations individuelles (si je peux me permettre, Gaêl dans l'axe, énorme et très bodmerien!) @+ les gars
C'est dans une ambiance dantesque que ,nous avons battu le fer contre des adversaires vaillants mais peu inspirés...Nous avions l'avantage du vent en première période mais notre notre manque de chance conjugué à leur combativité nous mena vers lka mi-temps. la profondeur de notre banc n'avait aucune influence sur la qualité de notre jeu et malgré une météo plus que déffavorable, nous ne cédions pas un pouce de terre, même adverse. C'est sur un coup de pied de coin que "Créves "euh Trèves ouvrait le score; Les locaux doublaient puis triplaient le score sur des actions anodines sans entamer notre détermination ni notre domination...Au final, une défaite en forme de hold up jusifié par un chateau Terrasse et une saucisse de strasversere! 
Le FCCR loisirs a fait son entrée lundi soir dans le cercle très sélect de la poule "casse-croûte" en accueillant de vaillants mais réfractaires savoyards.
